« On pourrait croire, avec des a priori un peu naïfs, que le monde du travail est le prototype des sujets prosaïques, et que rien ne se prête plus mal à l’univers poétique. Mais, dans ce recueil, Thierry Roquet nous prouve le contraire de la manière la plus éclatante. Et, en effet, le monde du travail se montre à travers ces textes comme un sort inéluctable, une absolue nécessité, où l’on côtoie des gens de toutes sortes (souvent pour le pire mais aussi, quelquefois, pour le meilleur), où la mélancolie se mêle à la dérision, et où l’esprit critique le plus lucide débouche sur une belle et réelle émotion. (...) »
>> La suite de la chronique de Marie-Anne Bruch sur son blog, La Bouche à Oreilles, le 6 juillet 2023.
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